« Tu dois avoir du recul à un moment. Même si tu as de la colère en tant qu’entraineur, quand tu te présentes en conférence de presse, tu ne peux pas menacer un journaliste. Si tu as envie de le voir, tu sais très bien qu’il vient souvent à la Commanderie ou au centre d’entrainement. C’est le capitaine de bord, quand il montre de l’énervement et qu’il est impatient et en colère sur le moindre truc, tu peux transmettre ça à tes joueurs, à ton vestiaire. Tu ne peux pas avoir cette attitude-là, car Villas-Boas on pense qu’il est très calme, mais c’est un faux calme « , a déclaré Petit Vélo au micro de RMC.
Pour rappel, le journaliste de La Provence avait publié un édito très agressif contre AVB, le matin du match, évoquant notamment « sa parano », son « égo titillé » et son « nombril boursoufflé ». Des mots qui, apparemment, ne choquent personne.