L’Américain a précisé que Pablo Longoria était bien le président de l’OM, et que Jacques-Henri Eyraud représentait de l’histoire ancienne pour le club, et que sa présence au conseil de surveillance n’était pas un écran de fumée pour lui laisser d’importantes responsabilités : « Il était temps de changer (de président) et je voulais repositionner l’OM sur le football. C’est un club de foot avant tout. Comme je vous le disais, Pablo (Longoria) a montré qu’il était un vrai leader. Le mettre en responsabilités nous recentre sur le foot. (…) Jacques-Henri (Eyraud) sera comme n’importe quel autre membre du conseil de surveillance Je ne pense pas que vous ayez beaucoup entendu parler du conseil de surveillance depuis que je suis arrivé, en octobre 2016. Ils ont certaines responsabilités, mais aucune dans le management opérationnel du club. Le conseil de surveillance n’a aucun pouvoir légal sur le management du club. Le directoire, présidé maintenant par Pablo, est l’organe qui dirige le club. Pablo est le président de l’OM. »
Frank McCourt a également abordé le dossier de la vente du club, qui a pris de la vigueur ces dernières semaines : « Le club n’a jamais été à vendre, il ne l’est pas aujourd’hui et il ne le sera pas demain. Je ne veux pas qu’il y ait le moindre malentendu sur ce point. Ce club sera accompagné par mes enfants et mes petits-enfants après moi. C’est un projet générationnel. (…) Les rumeurs de vente ? Elles sont parvenues jusqu’à moi. C’est la raison pour laquelle je les démens formellement. J’aimerais trouver le moyen d’empêcher les gens de continuer à les propager. Je serai toujours transparent à ce sujet, je ne mens pas, je n’ai jamais voulu vendre l’OM. L’OM n’est pas à vendre. »
Voilà qui devrait mettre un terme aux rumeurs d’un un rachat prochain par des Saoudiens.