L’OM, chouchou de la justice

Une nouvelle enquête a été ouverte hier sur l’Olympique de Marseille par le parquet de Marseille après l’audition de joueurs et de membres du personnel du club pour « menaces, pressions, sur fond d’extorsion de fonds ». Les personnes soupçonnées de ces fait ne seraient pas toutes connues par la police. Les policiers ont été alerté par […]

Une nouvelle enquête a été ouverte hier sur l’Olympique de Marseille par le parquet de Marseille après l’audition de joueurs et de membres du personnel du club pour « menaces, pressions, sur fond d’extorsion de fonds ». Les personnes soupçonnées de ces fait ne seraient pas toutes connues par la police.

Les policiers ont été alerté par la succession depuis quelques années des mésaventures arrivant aux joueurs olympiens, que ce soit des cambriolages à leur domicile ou même des vols de voiture. Les concernés sont Sylvain N’Diaye, Habib Beye, Fred Déhu et Mamadou Niang.

L’ambiance délicate qui règne parfois autour du club, trop souvent extrapolée par les médias, n’est pas de nature à surprendre les enquêteurs. Au club, on aimerait que la police mette fin aux agissements qui ont lieu depuis quelques années. Du côté de la police et de la justice, on estime que l’OM ne fait pas forcément bien son travail en terme de sécurité en ne filtrant pas suffisamment l’accès au centre d’entrainement de la Commanderie, ou en se montrant plus vigilant dans son recrutement (pas sportif ndlr). Il est égalemment recomamndé à l’OM de dénoncer ces délits en portant plainte, chose qui ne semble pas naturelle pour le club marseillais.

Par ailleurs, les services de police ont enregistré sur main courante une déposition du Docteur Lankar, médecin du club, pour des coups que lui aurait portés José Anigo, le soir du match OM-Strasbourg (2-2).

Alors que l’OM se cherche un entraîneur pour remplacer Jean Fernandez, c’est encore une fois une belle publicité qui est faite. Tous ces agissements ne révèlent rien qui n’aille que ce soit en interne ou autour du club. Les résultats sportifs depuis de trop longues années en sont le parfait reflet.

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