Vitinha : « Je suis un numéro 9 »

En conférence de presse, Vitinha a réagi à son statut de recrue la plus chère du club et a justifié son choix de rallier Marseille. L’ancien de Braga a également affirmé être un pur n°9.

Vitinha

Pas qualifié pour le déplacement à Nantes hier soir, Vitinha devrait, selon toute vraisemblance, fouler la pelouse du stade Vélodrome ce dimanche face à Nice.

En attendant, le Portugais était présent en conférence de presse et s’est confié sur sa signature et sur le fait d’être la recrue la plus chère de l’histoire de l’OM : « Je suis très heureux d’être ici. Ça a été mon premier choix, de venir à l’OM, c’est un grand club au niveau mondial. C’est un club historique. J’ai eu toute la confiance de la part du président. Il savait très bien qu’il s’agissait d’un grand pas pour moi. Ils ont fait le maximum pour que je vienne. C’était un choix facile. Ils ont tout fait jusqu’à la fin et la signature. J’espère aider le club à atteindre les objectifs. Être la recrue la plus chère ? Ce n’est pas quelque chose de difficile pour moi. Je ressens une énorme fierté. Un club qui ait donné tant pour obtenir un joueur, qui a tant voulu que je vienne chez eux. C’est une grande fierté. Je vais donner le maximum. »

L’ancien buteur de Braga a expliqué que sa position préférentielle était celle de n°9 et en a profité pour décrire un peu plus son profil : « J’ai parlé avec le coach. Ma position préférée est numéro 9. Si jamais on joue avec deux buteurs et qu’on me met en soutien de deux buteurs, ce n’est pas ma position favorite. Je suis un buteur qui travaille beaucoup, non seulement sur un match, mais aussi à l’entraînement. Je travaille dès que je me réveille, que ce soit sur le terrain ou hors du terrain, avec mes collègues et l’entraîneur. Je fais de mon mieux pour marquer, pour faire des passes décisives. L’objectif est d’aider le club pour les grands objectifs. Avec Alexis Sanchez, je vais être très attentif à ce qu’il fait, ce qu’il peut me donner, c’est un exemple pour moi, lui comme d’autres joueurs qui sont à des seuils plus élevés que le mien. Je veux grandir.« 

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