Petit : "Sampaoli est tout sauf stable"
Emmanuel Petit pense que Jacques-Henri Eyraud tente de calmer la gronde des supporters avec le nom de Jorge Sampaoli.
"Pour moi, c'est clairement un choix pour trouver l'apaisement et chercher la paix sociale. Le chantier prioritaire, c'est la scission qu'il y a avec les supporters. C'est devenu la priorité des priorités du club. J'ai l'impression que le fait d'aller chercher cet entraîneur, qui n'a pas non plus un gros pedigree, c'est une façon détournée de mettre l'attention sur le coach et non pas sur Eyraud. Eyraud veut raviver le fantasme Bielsa", a déclaré le champion du monde 1998 sur l'antenne de RMC.
"À Marseille, Sampaoli n'aura pas de guerrier"
Il est étonné qu'il arrive si tard : "Je ne comprends pas le timing. Un entraîneur qui arrive début mars à la 28e journée de championnat... C'est peut-être pour préparer la saison prochaine, mais je me demande quelles seront les garanties apportées par Eyraud ? Avec le Chili, Sampaoli avait des guerriers avec lui. Mais à Marseille, il n'en aura pas. Et il n'aura pas les joueurs qu'il veut, car Marseille n'a pas d'argent. L'OM a besoin de stabilité. Et Sampaoli est tout sauf stable... Pour moi, Sampaoli, c'est la dernière carte d'Eyraud", a-t-il ajouté.
L'alternative à l'Argentin se nommerait Walter Mazzarri. Le coach italien pourrait arriver avec Fabrizio Ravanelli dans sa valise, comme membre du staff ou coordinateur technique.
Emmanuel Petit : son actualité
- Petit : "Repartir sur une feuille blanche"
- Petit : "C'est le foutoir"
- Petit : "Là où je ne suis pas d'accord avec Villas-Boas..."
- Petit a aimé la prestation de Strootman
- Petit croit toujours en Radonjic
- Petit : "Les supporters attendent un geste fort"
- Quand Petit explique qu'il aurait pu signer à l'OM...
- Petit : "Balotelli ? Je trouve que c'est dégueulasse"
- Petit met en cause l'intégrité de Bernès et Le Graët
- Petit estime que Payet doit se remettre à jouer pour l'équipe

petit, tu es tout, sauf inspiré quand tu parles de l'OM...
merci, au revoir.

Toujours à cracher sur nous celui là aussi.