Le consultant de SkySports a analysé les problèmes que peuvent rencontrer les dirigeants, lors du choix de leur futur attaquant. Le Grec constitue l’un des exemples sur lequel il appuie sa réflexion : « En quittant un Fulham en difficulté, il a montré qu’il n’avait pas perdu son talent devant le but en retournant immédiatement au but avec Olympiakos et en marquant 19 buts en 34 matches la saison suivante », s’est-il souvenu.
Moins d’occasions à l’OM ?
D’après lui, le football de Mitroglou pourrait être de ceux qui s’expriment dans les équipes très dominatrices : « L’Olympiakos et Benfica ont des aspects dominants dans leurs ligues respectives, a-t-il fait remarquer. En conséquence, Mitroglou aura inévitablement bénéficié du volume de jeu et d’une quantité d’opportunités qui ne s’est pas présentée à Fulham. Et il a commencé doucement à Marseille. »
Et de conclure : « Les clubs feraient bien de se souvenir que les meilleures signatures ne seront pas nécessairement celles présentant des statistiques records, mais plutôt celles qui correspondent le mieux au rôle requis dans leur équipe. »
