Tant ils sont forts, il suffit d’un ou deux matchs à certains journalistes ou consultants pour évaluer le niveau d’un joueur. La crème de la crème des médias est ainsi très vite tombée sur Kostas Mitroglou, lequel n’a pas brillé, depuis son arrivée. Au point d’annoncer, déjà, son prochain départ. Interrogé par L’Équipe, Jacques-Henri Eyraud a pourtant démenti l’idée selon laquelle il voulait déjà se séparer de lui : « Je n’ai jamais entendu ça en interne », a-t-il lâché au quotidien, laconique.
Comme d’autres avant lui, l’ancien Lisboète a besoin de temps pour appréhender le contexte phocéen et s’adapter au jeu de la Ligue 1. Il est intéressant de mesurer combien cette élite de journalistes alimente elle-même la pression inhérente au club marseillais, puis la dénonce ensuite.