Eyraud : « La rébellion, l’insoumission, le goût du combat »

Si certains de ses prédécesseurs n’ont pas jugé important de comprendre Marseille et ses habitants, Jacques-Henri Eyraud a rapidement saisi que la rivalité entre la ville et Paris ne remontait pas seulement à 1990, comme se le figurent certains journalistes.

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« Un jeu offensif, spectaculaire, celle d’une prise de risque : c’est l’OM, ça. C’est l’identité marseillaise : la rébellion, l’insoumission, le goût du combat. Ce qui est probablement plus fort à l’OM qu’ailleurs et est lié à l’ADN de la ville », a-t-il expliqué. Et d’ajouter : « Il y a une passion que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Certainement pas à Paris, même si j’ai énormément de respect pour le PSG et pour le PSG version qatarie. »

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