Jacques-Henri Eyraud a comparé les refus de joueurs du Basque à ceux d’un bébé attendant du bon vin. A priori, l’ambiance n’est pas seulement bonne dans le vestiaire phocéen, mais aussi dans les bureaux des dirigeants. Ça change tellement…
Métaphore : Zubi face aux agents… https://t.co/BATgiDzAWj
— Jacques-Henri Eyraud (@jheyraud) 3 février 2017
