« Vers 20h20, avant le coup d’envoi, à l’arrière du stade sur le parking des Puces, on avait une centaine de supporters marseillais qui ne rentraient pas dans le stade, ils restaient cantonnés sur le parking et une centaine d’ultras montpelliérains qui attendaient également », a expliqué la commissaire de permanence à la direction départementale de la sécurité publique de l’Hérault (DDSP) au quotidien. Le ton est monté et la police a dû faire usage d’ « une trentaine » de bombes lacrymogènes afin d’éviter que les deux groupes s’affrontent. « Leur but était vraiment de s’affronter et de nous faire reculer », a-t-elle ajouté.
Pour rappel, 1 311 Phocéens ont fait le déplacement jusqu’à Montpellier, hier.