« Dans sa tête, il savait que c’était la fin, mais il continuait d’être performant et de bosser pour s’améliorer. À l’entraînement, il poussait les autres. Et il poussait des coups de gueule s’il prenait un but. Sans se mettre en avant ni trop parler, c’était un meneur. On ne pouvait que lui faire confiance », a-t-il confié au quotidien.
Publié à 11h16