« On étudiera les opportunités possibles, selon les besoins identifiés. Cela se prépare dès maintenant. On a des propositions. Mais laissez-nous le temps d’en parler avec le staff technique en place. La finalisation de la vente ne surviendra que d’ici à mi-novembre. La saison actuelle sera forcément celle de la transition. On fixera les bases de l’organisation du club ainsi que les sources de revenus et de développement en France et à l’étranger, notamment en Afrique », a-t-il précisé. Selon lui, il faudra attendre l’été 2017 pour assister à des manoeuvres plus importantes : « Pour les transferts, le moment clé sera en juin 2017. On a dit qu’on voulait jouer les premiers rôles chaque saison. L’OM a besoin de joueurs très compétitifs, qui ont l’expérience et l’habitude de gagner des titres. »
Enfin, il ne s’agit pas non plus d’imaginer des recrutements du niveau de ceux réalisés par les Qataris, au PSG : « Il y a une corrélation directe entre les performances sportives et les ressources financières que l’on mobilise. Mais il y a une différence fondamentale. d’un côté, vous avez un club financé par un État souverain, avec un investissement dans le football qui répond à une politique de rayonnement étatique. De l’autre, un entrepreneur individuel expérimenté et qui investit dans un club de manière très rationnelle… »
