Selon la cour d’appel, le prix de vente d’Adidas, 2,085 milliards de francs, correspondait effectivement à sa valeur réelle, au moment de sa vente, en 1992. Elle considère également que les sociétés de Bernard Tapie « disposaient des mêmes informations que la banque« , notamment « sur les perspectives de redressement » de la marque aux trois bandes. L’ancien boss phocéen, qui considère pour sa part qu’il y a eu « tromperie, devrait se pourvoir en cassation.
Publié hier à 18h22