Anigo essaye de calmer l’affaire Diarra

Dans un club où la crête est proscrite, on aurait pu penser qu’une absence non-autorisée d’un joueur durant 5 jours entrainerait la sanction la plus exemplaire possible : le placement du joueur sur la liste des transferts. Or il semble que le club phocéen s’achemine vers une sanction financière « light » si on en croit les […]

Dans un club où la crête est proscrite, on aurait pu penser qu’une absence non-autorisée d’un joueur durant 5 jours entrainerait la sanction la plus exemplaire possible : le placement du joueur sur la liste des transferts. Or il semble que le club phocéen s’achemine vers une sanction financière « light » si on en croit les déclarations du directeur sportif de l’OM, José Anigo, qui n’est certes pas le seul décisionnaire à l’OM mais qui semble soutenir cette idée. « Il s’est entraîné normalement, tout allait bien mais on n’a pas évoqué une sanction. Il y en aura une. C’est normal et logique vis-à-vis du groupe. On se verra tranquillement dimanche. Ce n’est pas l’affaire du siècle. On a besoin d’Alou. » Rappelons que le dit Alou n’a pas mis un pied devant l’autre avec Marseille depuis son arrivée en juin 2011.

Comme quoi finalement, la discipline au sein du club marseillais est plus laxiste sur de faits graves que sur des délires capillaires pré-pubères. Rappelons qu’Elie Baup avait dit au sujet de ces coiffures « que les jeunes footballeurs prennent conscience qu’il y a une attente autour de leur image et de l’attitude qu’ils peuvent renvoyer à l’extérieur« . Et sur l’absence injustifiée d’un des plus anciens du groupe phocéen ?

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