Labrune : « l’OM était une pétaudière »

Une pétaudière ! Comprenez, un club où tout le monde veut commander. Voilà ce qu’était l’OM pour Vincent Labrune, avant son arrivée, bien sûr. Il faut admettre que pendant ce mercato, la presse ne s’est pas faite l’écho de quelconques divergences entre le staff ou entre Deschamps et Anigo. Une bonne entente qui fait plaisir […]

Une pétaudière ! Comprenez, un club où tout le monde veut commander. Voilà ce qu’était l’OM pour Vincent Labrune, avant son arrivée, bien sûr. Il faut admettre que pendant ce mercato, la presse ne s’est pas faite l’écho de quelconques divergences entre le staff ou entre Deschamps et Anigo. Une bonne entente qui fait plaisir à voir et dont se félicite Vincent Labrune, qui revient, pour Aujourd’hui en France, sur le mercato olympien et les objectifs qui en découle.

« On a dépensé 11 millions d’euros, on a diminué par quatre l’investissement moyen des trois derniers étés, pas par choix, mais parce que c’est vital pour la survie du club. C’est un peu frustrant, mais on est plutôt contents du recrutement, de l’effectif. L’ambiance est bonne, on a des joueurs déterminés, des guerriers. Au minimum, 60% de la saison se joue pendant le mercato, et on s’est donné les moyens de réussir.

La saison dernière, l’ambiance n’était pas pesante, mais délétère. entre les dirigeants, entre le staff, entre les joueurs… L’OM était une pétaudière, on était à la limite de l’implosion, dans un flou artistique total. Tout le monde voulait et pouvait partir. Aujourd’hui, l’entraîneur, la priorité des priorités, est heureux d’être là et a prolongé son contrat. Tous nos joueurs majeurs, sans exceptions, sont présents. Ils savent qu’une grande année les attend, et qu’ils ont une revanche à prendre.

L’objectif réaliste, avec les Galactiques du PSG, c’est la deuxième place du championnat et une qualification en 8es de finale de Ligue des Champions. Après, on se battra jusqu’au bout. »

On prend, presque, les mêmes et on recommence. L’objectif affiché est plus ou moins celui de l’année dernière. Mais, à en croire Vincent Labrune, cette année, l’ambiance est plus favorable…

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