Article de l’Equipe Mag : Anigo se défend

Le 29 juillet 2006, l’hebdomadaire L’Equipe mag publiait un article concernant les possibles troubles extra sportifs que subit l’OM depuis quelques années : influence mafieuse, pressions, menaces…. . Celui-ci visait particulièrement José Anigo, l’actuel directeur sportif du club olympien, accusé de « terroriser tout le monde au club », d’être à l’origine du départ de Jean Fernandez […]

Le 29 juillet 2006, l’hebdomadaire L’Equipe mag publiait un article concernant les possibles troubles extra sportifs que subit l’OM depuis quelques années : influence mafieuse, pressions, menaces…. . Celui-ci visait particulièrement José Anigo, l’actuel directeur sportif du club olympien, accusé de « terroriser tout le monde au club », d’être à l’origine du départ de Jean Fernandez mais aussi d’avoir agresser l’ancien médecin du club Charles Lankar.
L’OM, par la voix du président Pape Diouf, s’était offusqué du contenu de l’article en accusant l’hebdomadaire de vouloir dénigrer le club et ses supporters dans un communiqué publié sur le site officiel. Dans le Journal du Dimanche à paraître aujourd’hui, José Anigo répond en détail aux accusations proférées contre lui. Des extraits de cette interview ont été publiés par le site Eurosport.fr.

Tout d’abord, sur le fait d’avoir exercé des pressions sur Jean Fernandez, il répond que cela ne peut pas être possible. Les épouses des deux hommes sont de bonnes amies et par conséquent, il est difficilement imaginable de le voir les menacer.
Ensuite, à propos de l’agression supposée de Charles Lankar, il nie avoir eu un tel comportement envers l’ancien médecin du club. Néanmoins, il reconnaît avoir eu certains mots et certains gestes contre lui. De plus, il s’avère que Lankar ait aussi démenti avoir été agressé par le directeur sportif.
Enfin, le JDD lui a rappelé que le préfet de Marseille voulait qu’il rende des comptes à propos certains de ses amis en dehors du football, il répond qu’il assume totalement le fait de fréquenter ces personnes. Néanmoins, le préfet lui a demandé « de faire la part des choses » et Anigo annonce qu’il « a bien reçu le message ».

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