Lucho – Niang, duo complice

Quelque peu chahuté en début de saison à cause d’un rendement jugé trop faible par rapport au montant de son transfert, Lucho Gonzalez a depuis su faire taire certaines critiques. Avec ses 6 buts et ses 6 passes décisives en 23 matchs joués, Lucho affiche finalement un bilan plus qu’honorable, si l’on n’oublie pas les […]

Quelque peu chahuté en début de saison à cause d’un rendement jugé trop faible par rapport au montant de son transfert, Lucho Gonzalez a depuis su faire taire certaines critiques. Avec ses 6 buts et ses 6 passes décisives en 23 matchs joués, Lucho affiche finalement un bilan plus qu’honorable, si l’on n’oublie pas les blessures qui ont régulièrement handicapé son intégration. Mais, comme le souligne Didier Deschamps sur OMtv, pour faire la passe, encore faut-il qu’il y ait du mouvement et des appels.

« Lucho, il a toujours eu cette qualité de passe. Il est bien actuellement et peut en donner à tout moment. C’est la compréhension entre Lucho et Mamadou Niang, qui est parti avant de recevoir la passe, qui a fait la différence. On a toujours tendance à dire que c’est le porteur du ballon qui doit montrer où l’autre doit se déplacer. Non ! C’est celui sans ballon qui doit indiquer où il doit recevoir. Cette complicité technique ne se fait pas du jour au lendemain. »

Il est vrai que les supporters auront dû attendre un long moment avant de voir s’exprimer le talent de Lucho. Même si le joueur et l’équipe disposent encore d’une marge de progression, le spectacle commence à être au rendez-vous.

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