Ils ont osé le dire

"Voir le public comme il a été contre Reims c'est extraordinaire. L'OM c'est un niveau au-dessus de la Roma, donc revivre la sensation de gagner un titre, mais à Marseille, ça devrait être très fort."

"On n'entend pas la Ligue depuis le début de la saison. Vincent Labrune, le patron de la LFP, n'a pas dit un mot sur ces incidents. Après ce qu'il s'est passé et la façon dont il s'est comporté, il ne doit plus être président de la Ligue. La Ligue n'est pas dirigé."

"En France, on forme des joueurs très individualiste, sans concept très concret de jeu, précisément par ce que l'on cherche cette identité. Il n'y a pas un modèle de jeu. La formation y est plus individuelle que collective. C'est l'un des pays qui exportent le moins d'entraîneur."

"Milik est un grand joueur. Il s'est très bien adapté. Il dit qu'il est latin comme nous et boit le maté. C'est une super personne et un excellent joueur. C'est un défi pour nous, c'est une concurrence saine. Le meilleur va jouer, c'est bon pour moi. Ça va me pousser à travailler."

"Ce type de raisonnement m'a toujours énervé. En trois ou quatre mois, parce qu'il est inefficace et ne marque plus, Benedetto est devenu une chèvre ? Doucement, doucement... On connaît son niveau, il est dans une période où il est moins bien."

"Quand je suis arrivé à Marseille, j'ai dit quel était notre objectif et les gens riaient. Aujourd'hui, je ris de bonheur. Merci l'OM de m'avoir fait passer la meilleure année en tant que professionnel dans le sport que j'aime. Toujours dans mon coeur."

"Il est important que tout le monde prenne ses responsabilités dans cette période délicate, pour vous protéger vous, mais surtout pour protéger les plus faibles face à l'épidémie. Je vous invite donc à suivre les consignes données par l'OMS."

"Les valeurs, les codes, ça s'est perdu dans la société. Donc d'autant plus dans le football. Déjà que j'étais malheureux quelquefois d'être dans un vestiaire avec certains joueurs à côté de moi, aujourd'hui, je crois que je les prendrais à coups de gifles toute la journée."

"Je l'ai déjà dit, notre histoire n'est pas finie. J'ai l'ambition de devenir entraîneur. (...) Je veux revenir à l'OM avec un gros bagage et faire quelque chose d'extraordinaire, ça serait le must de ma vie."

"Je sais que c'est un très grand club, qu'il y a eu la Ligue des champions, je connais de grands joueurs passés par le club, comme Barthez ou Abedi Pelé. C'est un club connu en Italie."

"Je sais qu'un Jean-Michel Aulas, parfois, est allé voir les supporters de Lyon. D'autres fois, il est resté en retrait. Peut-être que Jacques-Henri Eyraud, qui n'a rien fait cette fois, ira au feu la prochaine. On ne peut pas calculer son comportement."

"Ce que je note en tout cas, c'est que les membres de la commission de discipline se lèvent plus prestement pour saluer le président de Lyon que celui de l'OM quand il rentre dans la pièce. Le privilège de l'âge, je présume."

"Ce soir c'est pour les supporters. C'était la meilleure ambiance de ma carrière."

"On aurait vu que Ravanelli avait été légèrement effleuré. À pleine vitesse, cela suffit pour le déséquilibrer, se marcher dessus et tomber. Mais il y avait faute. Sur l'instant, comme toute l'équipe, j'étais en colère mais il faut être lucide : il y avait bien peno."

"Si l'OM finit en C3, mais en nous ayant battu, il le vivra comme une saison magnifique. Le dernier match a dû être difficile à vivre, car ils étaient à un souffle de la victoire après 6 ans sans nous battre. J'ai vu beaucoup de tristesse sur le visage de nos adversaires."

"Nous ne jouions pas une équipe quelconque, nous jouions la troisième grande puissance du championnat de France. (...) Si l'OM est du même niveau que Porto ou Benfica ? Non, l'OM, c'est bien supérieur."

"Peut-être que parce qu'on n'en a plus eu depuis longtemps on n'a plus l'habitude de tirer les penalties (rires)."

"Dimanche, les attaquants de l'OM n'ont pas eu la balle, c'était soit trop haut, soit trop court. Et quand tu vois certains centres, ça fait peur... Je comprends leur difficulté pour marquer."

"Letexier est un excellent arbitre, en plus, il est jeune, il est moderne. C'est sûrement un très, très grand arbitre pour le futur."

"Quand on dit "ça s'équilibre", c'est une grosse ânerie. On ne rattrape pas ces points-là, ça fait parti du jeu. On espère que ça fera moins partie du jeu l'année prochaine."

"Au moment de choisir l'OM, je n'imaginais pas me retrouver dans la position dans laquelle je suis aujourd'hui. À l'époque, je quittais Hanovre, un club qui descendait en D2, et je serais venu même pour être numéro 2."

"L'OM ? Je n'y pense pas du tout. C'est un match comme un autre. On va montrer qu'on va aller chercher la victoire là-bas. Même si c'est un beau stade avec une belle ambiance. On a l'habitude. (...) Ce sera un Classique, mais la Ligue des champions, c'est quand même autre chose."

"Dans le vestiaire, on a des gars respectent le maillot, un coach qui communique beaucoup, on essaye de gommer ce qui ne va pas. Comment peut-on juger au bout de quelques matchs ? C'est ridicule !"

"On a gardé notre destin entre nos pieds depuis de longues semaines. Je crois qu'on est à dix ou onze matchs sans défaite, dont six victoires, et le groupe a bien progressé, c'est ce qui est important. Je pense qu'on n'a pas volé notre cinquième place"

"Mais bon, dans tout ça, Christophe Dugarry, c'est la seule personne au monde qui sait le nombre exact de poils pubiens qu'a Zinédine Zidane sur ses bijoux de famille."

"Je pense que voilà, c'est pour ça qu'on fait du sport, c'est pour ça qu'on joue au football et c'est vraiment extraordinaire à vivre !"

"Quand tu as Dimitri, Max, Morgan, Flo, et même les autres, c'est vrai que c'est plus facile."

"Je vais même vous faire une petite confession, je pensais que l'OM aurait beaucoup de mal à Lorient. Au lieu de ça, comme l'a dit Garcia, l'OM s'est rendu le match facile !"

"Comment créer l'exploit face au PSG ? Comme le PSG a crée un exploit contre le Barça. (...) Le PSG a impressionné toute l'Europe, mais là on est à Marseille donc c'est différent."

"Rester dans le vestiaire de la CFA à la Commanderie ? C'est pour me protéger, pour ne pas que j'oublie d'où je viens, que je ne m'enflamme pas parce que j'ai fait 10 matchs. J'accepte c'est normal !"

"C'est vrai qu'on a gagné 5-1, c'est bien, mais il y a beaucoup de choses à travailler. Il faut toujours s'améliorer. On part toujours avec cet objectif."

"Le bras de fer avait duré 48 heures. Payet s'était excusé devant tout le groupe. Même quand c'était tendu avec lui, c'était agréable. Car c'est un garçon honnête. Ce n'est pas un filou ni un fouteur de merde. Des fois il gagne, des fois il perd. Mais il assume toujours."

"Quand ça n'ira pas, peut-être qu'on me ressortira mon passé, qu'on m'insultera. Ça fait partie du jeu. Mais si tu t'investis à 100 % à l'entraînement... Moi, je crois beaucoup au travail, ça finit par payer, et tu obtiens un juste retour des choses."

"Merci à Jacques Henri qui m'a donné la possibilité d'être ici, dans un club qui a une grande personnalité dans le foot. Comme Bilbao et le Barça, l'OM incarne une grande passion, dispose d'une grande relation avec les supporters."

"Quand j'ai rencontré Rudi, il m'a tout de suite dit qu'il voulait gagner la Ligue des Champions. J'ai immédiatement su que ce serait l'homme pour le poste d'entraineur de l'Olympique de Marseille."

"Voilà notre objectif, vous l'avez sous les yeux ! On va remettre l'OM à la place qui est la sienne. C'est notre objectif et nous avons les moyens de nos ambitions. Il faut que notre club, l'OM, soit connu et refasse parler dans le monde entier !"

"Je suis très attaché au club. Ca fait un moment que je joue ici. Je m'en suis encore plus rendu compte quand je suis parti à Newcastle. Le club m'a vraiment manqué et c'est vraiment ma deuxième famille."

"Les résultats sont ce qui compte, pas les mots. (...) On a pour ambition d'être champion de France dès la saison 2017-2018."

"Le Stade Vélodrome m'a marqué, je suis à Chelsea, maintenant je peux le dire."

"La seule vérité dans ce que j'ai pu lire est que j'ai beaucoup parlé avec Marcelo Bielsa pour le faire revenir. J'ai parlé toutes les semaines avec lui depuis le début du projet."